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Cũ 03-08-2012, 12:58 AM
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LES PETITES SOEURS

Đây là truyện "Những cô em gái", chính nó là lý do khiến tớ có thêm quyết tâm theo đuổi tiếng Pháp! Mọi người xem rồi góp ý nhé!

Chapitre 1

Mon année scolaire douzième est morne extrêmement.
Tous les amis sont dispersés. Nghi, « professeur » Ba et Hong « chava » qui est moche mais très vertueuse, ils continuent travailler au lycée provincial.Éyant tristes à cause d’être échoués, Ngu et Hoa s’instalent au Sub.Gia Khanh et moi,on viennent à Đà Nẵng. Gia Khanh travaille à l’autre lycée, au lycée de jeunes filles, moi au lycée de jeunes homme. Mais si on travaille au même lycée, on n’y a rien à parler. Depuis j’ai su que Gia Khanh ai eu petit ami à son village natal, ma comète Halley s’était éteindue.
Pas de proche parent, pas d’ami itime, je détonne dans la grande ville, comme je suis perdu dans une planète inconnue. Quelle tristesse !
Mon père m’a confié à la maison d’un ami qui s’apelle Đán. Je l’apelle « maison », mais en fait, c’est une petite chambre dans le bureau d’oncle Đán.
C’est exageré de l’appeler « chambre ». À vrai dire, c’est une petite place du bureau qui est séparée afin de coucher. Elle n’a que assez de place pour laisser une armoire,une table et un petit lit. Depuis je suis ici, elle a plus une chaise de toile pliante.
La première nuit, me couchant dans la moustiquaire, écoutant les moustiques sururrent du dehors, j’ai mal du pays au point que mes larmes perlent. Je pense beaucoup à mes parents,à mes petit fère et petite sœur, à mes vieils amis.
Oncle Đán couche sur le lit à côté de moi, sais que je ne peux pas dormir, il me questionne :
- Y a-t-il quelque chose ?
- Non,oncle. il n’y a rien.
- Il y a trop de moustique ?
- Non,oncle.
- Ou les punaise te piquent ?
- Non, oncle.
Oncle Đán ne pense que j’ai mal du pays. Un garçon de douzième l’année sclolaire, va sur aller à l’école, il n’ensemble pas un petit marmot.
- Assurément, cette place est inconnu avec toi, alors c’est dur à dormir !
Il clappe de la langue et basse le ton pour me consoler :
- Tache de dormir, mon fils. J’étais pareil à toi précédement.
Ce n’est pas la première fois que je vis loin de ma famille. À l’année dixième, je suis venu à Tam Kỳ, vécu loin de mes parents, de mes petits frères et sœurs, de la source limpide de ma village, de la ruelle avec les bambou verte annuels.
Mais deux ans à Tam kỳ, j’avais Ngữ, Nghị, Hòa, Bá. J’avais Hồng chà-và, j’avais Gia Khanh. À Đà Nẵng, je n’ai personne. La première nuit dans une chambre inconnue, je regarde le sommet de la moustiquaire, ne peux pas dormir, je pense que je suis Robinson dans la première nuit à l’île déserte.
Le matin suivant, mesieur Đán me donne une clé :
- C’est la clé. Chaque a une. N’oublie pas de cadenasser la porte quand tu sors.
Je dis « oui, meursieur ». Portant la serrure en cuivre, je me fait mettre la clé dans la serrure quelques fois. Ensuite, je cadenasse la porte, porte mon cartable et vas au lycée.
Il faut prendre 20 minuites de chez moi au lycée. Je passe quelques rues, retourne 3 carrefours.
Comme les autres rentrées des classes, je suis tout seul dans le coin de la classe. Les autres causent de la pluie et le beau temps, personne ne fait pas attention à un nouveau élève provincial comme moi.
À côté de moi, il y a un garçon avec les cheveux peu frisés, le visage osseux, assez beau mais il bredouille. Il est tout seul et désorienté comme moi. Il regarde autour de soi, il se déplace de mon côté :
- Tu … tu pars de Điện … Điện Bàn ?
Attendant ce garçon de dire toute la phrase, je suis trop impatientant. Il fait me tier la langue. En tout cas c’est mieux que j’ai quelqu’un pour causer. Je dis heureux :
- Non, dernière année j’ai travaillé au lycée Trần Cao Vân.
Il fait oui de la tête avec l’intelligence :
- Ton village …village natal est Tam …Tam Kỳ ?
- Non, c’est Thăng Bình. Mais il n’y a pas du lycée.
Il hoche plusieurs de la tête :
- Comment tu t’appelle ?
- Je m’appelle Khoa. Et toi ?
- Je …je m’applle Hồng …Hồng Hà.
Je m’étonne :
- Hồng Hồng Hà ? pourquoi ton nom a deux mots « Hồng » ?
Il fait non de la tête avec la douleur :
- Non …non !Je suis Hồng …Hồng Hà
J’écarquille :
- Il y a deux mots « hồng » !
Il leve un doigt :
- Il …il y a un mot « hồng ».. « hồng ».
Justqu’à maitenant je me rappelle soudainement son bégaiement, je souris :
- Je le comprends. Ton nom est Hồng Hà.
Trouve que je dis corrertement son nom, Hồng Hà est très gai. Il leve un doigt de nouveau :
- Tu … tu…est très intelligent.
Je pense que je n’est pas intelligent du tout mais je suis plaisant de son éloge.
Je le questionne :
- Dernière année quel lycée as-tu travaillé ?
- Trần Quý…Quý Cáp.
Cette fois, je sais bien que ce Trần Quý Cáp a un mot Quý dans son nom. Je cilgne les yeux :
- Tu pars de Hội An ?
Il fait oui de la tête :
- Oui, Hội… Hội An est mon terre natal.
Je leve la tête sur les autres :
- Tu les connais ?
- Non ...non. ils sont peut-être é..élevés de ce lycée.
Grâce à la situation, Hồng Hà et moi, on deviens un coup d’ami intime depuis ce-jour-là.

Mais on sera intime dans le futur. Dans les première journées, j’ai le cœur gros.
Je suis plongé dans la tristesse au point que j’ai la tête ailleurs.
Le premier jour je cadenasse la porte, je ne porte pas la clé avec moi. Au midi, je rentre, Đán n’est pas là. Je fouille toutes les poches, les doigts manquent de perforer les couches de tissu mais je ne trouve pas la clé.
J’introduis la fibre de zinc dans la serrure quelque fois. Mais en fin, étant trop deçu, je jete mon cartable par la cloison et j’y escalade.
Sans Đán, je ne sais pas de aller à l’auberge de Dần . Ce midi, je suis plongé dans le recueil de pomèmes « envoyer le parfum au vent » pour oublier la faim. Les vers de Xuân Diệu me chantent pour endormir insensiblement.
Je me reveille en sursaut dès que la porte est ouverte net.
Đán entre, sousaute à cause de mon apparition dans la chambre :
- Mince alors ! quourquoi tu n’a pas allé déjeuner ?
Je n’ose pas dire que je ne sais pas le chemin vers chez Dần :
- J’ai déjà mangé.
- Tu as mangé où ?
- Au lycée ! – je mens et écoute mon ventre sonne – j’ai mangé du pain avec mes amis.
Il se rappelle soudainement :
- Euh,puourquoi tu es ici mais la porte est cadenassée ?
Je rougis d’embarras :
- Ce matin, j’ai oublié la clé chez nous. - Je suis contagieux le bégaiement de Hồng Hà – et puis …puis je suis hissé …hissé sur la cloison.
Đán regarde la cloison. Puis peut-être que il pense à quelque chose, il double de pas vers la table de travail.
Je suis chaque son action et je blêmis quand il porte la main de dossier qui est tirée un demi sceau de mon sale chaussure.
Je ferme les yeux, attends que ses accès de colère déversent sur moi.
Mais Đán est …doux et généreux. Il me dit avec le voix douce :
- La prochaine fois, n’oublie pas porte la clé avec toi n’importe quand tu sort !
Je pousse un soupir de soulagement :
- Oui, je le retiendrai
- Retiens bien de rentrer pour prendre le déjener et le dîner avec moi. Ne menge pas le pêle-mêle dehors.
- Oui, je le retiens
Je ne sais pas qu’est-ce que Đán crois à ma promesse ou non, il me dit soudainement :
- Ton père et moi sommes très intimes comme des frères. Alors je suis soucieux de toi comme mon fils.
Le ton sentimental de Đán me rend troublé. Je suis contrit brusquement à cause de hisser sur la cloison pour entrer. Je suis contrit à cause de salir ses papiers. Et je te dis :
- Je t’obéirai autant que mon père. Je te le promets. Jure les dieux, j’ai dit la vérité à cent puor cent.
Je dis sincèrement au point que je manque de pleurer mais le jour prochain je continue à oublier la clé dans la chambre.
Et Đán est doux à nouveau :
- La fois prochaine, ne fais pas comme ça ?
Je dis « oui ». Et je oublie la clé la troisième fois.
N’importe qui est pareillement, quelque chose qui répete justqu’à la troisième fois peut ébranler le cœur de granite. La premième fois,la mère de grand sage Tăng Sâm a écouté les autres a dit que Tăng Sâm a tué, elle a tissé encore. Elle a cru dur comme fer à son fils et elle saivais bien que c’était le rumeur mal fondé. La deuxième personne a dit que Tăng Sâm a tué, elle a continué son travail calmement. Mais justqu’à la troisième personne l’a répété exectement comme deux personne dernière, elle était effarée, elle a jèté la navette et suivie.
La mère de Tăng Sâm ne pu pas rester calme devant la répétion d’un chose, encore moins de mon oncle Đán.
À la troisième fois, Đán se laisse d’être doux et généreux. Il se laisse d’être tendre, calme. Il parle haut de me reprocher :
- Tu as la tête ailleurs comme ça, comment peux-tu travailler, appendre tes leçons par cœur ?
Je parle à voix très basse :
- L’année dernière, j’étais le meiller élève dans ma classe.
- C’est l’année dernière ! – Đán promene ses regards vers moi avec doute – c’est sur que l’année dernière, tu n’as pas oublié le tout !
L’année dernière je n’étais pas vague comme cette année. C’est puorquoi l’année dernière j’avais beaucoup d’ami. C’est pourquoi l’année dernière j’étais plongé dans l’amour. Bien que j’aimerai la rose de … l’autre pays, il est venu à rien. Cette année, je viens d’arriver à une ville inconnue. Je suis plongé dans « la tristesse inconsolée de mal du pays » comme les vers de Quang Dũng. Alors je suis dans la lune toujours.
Alors bien que on est séparé par la cloison, je reste dehors et ma chère clé est dans la chambre, tous les jours. Quel dégoûte !
Je suis plus dégoûtant à cause de découverte que les autres dans ma classe parlent le français couramment, joliment et incroyablement. Ils diffirent du tout au tout à côté de moi.
J’appends le français depuis la classe de sixième. Depuis ce moment, j’étais le meiller dans la classe français. L’année dernière, j’étais classé premier, « professeur » Bá douxième.
Mais je suis un élève provicial. Mes professeurs était âgés. Ils m’ont appris avec le ton campagnard.
Professeur et les élèves ont regardé les mots « c’est un matin » sur le tableau, dit haut :
- Xe tonne ma tin.
On l’a répété.
De « Xe tonne ma tin » à « xe tonne bin lon », « xe tonne ce ray gion ». cette prononciation , ce n’était qu’on qui a pu la compendre. Si les Parisiens l’écoutent, c’est sûr que ils faut conjerturer difficilement.
Notre professeur de français de la classe de douzième est meusieur Xuân Thu, il a déjà travaillé en France.
Etant diffirent de nos professeurs derniers, du commencement à la fin, il ne « saute » que le français, pas d’un mot vietnamien.
J’écoute mais sans rien comprendre.
À ce moment, les autres sont impossibles, prof Xuân Thu « saute » un feu roulant de français, ils le répondent à l’autre. Mais je pense que je suis present à une classe en Frence et avec le visage torse de grands sourcis.
Toute les classe de français, prof Xuân Thu et ils « sautent » ensemble avec les bruits la classe durant.
Mes oreilles bourdonnent souvent, j’ai sansation comme je perds dans un combat de feu, je me crispe au coin de la classe, avec anxiété qu’il me demande de …faire feu à deux.
Sachant que je crainds comme le feu, Hồng Hà souris et questionne :
- Tu … tu écoute le… le tout ?
Je fait oui de la tête :
- Le tout, bien sûr.
- Tu … tu tout …tout compends ?
Je soupire :
- Pas du tout, bien sûr !
Et je le regarde, attends une ignocance crasse comme moi enfin d’eprouver moins humilié.
- Tu ne comprends pas du tout aussi ?
- Je comprends … comprends environ quatre…quatre-vingt, quatre-vingt dix pour cent.
- Tu mens !- trouvant que ce bègue ne veut pas être bête comme moi, je suis en colère soudainement.
- C’est …c’est vrai ! – Hồng Hà avale la salive – je … je ne suis qu’incapable de … de parler
Écoute sa reconnnaisance plain de la tristesse, mon cœur est plongé dans le chagrin subitement. Hồng Hà eprouve beaucoup de difficulté de parle le vietnamien, voir le français. s’il dit le mot « carotte », c’est bien sûr que personne ne peut manger cette carotte, de tout façon, il le pronconcera « ca…ca…rotte » . Si le Français entend le mot « caca », il se pricera le nez et prendra la fuite. Tout à coup, je trouve que il est très pauvre. Sa faculté de français n’est pas moins de l’autres de ma classe, à cause de son bégaiement, il subis des pertes.
Pour adoucir sa tristesse, je me détourne la conversation :
- Ces élèves, ils parlent le français très bien ?
- La pluparte d’e… d’eux était é…élève du lycée Pascal. Je … je l’ai en…enquêté hier.
J’ouvre les yeux tout ronds :
- Ils avaitent trvaillé au lycée Français ?
- Oui.
- Bof ! – je les admire – cela s’explique qu’ils parlent le français comme … le Français !
Je suis surpris soudainement :
- Euh, mais puorquoi ne t’ont-ils pas contiué travailler au Pascal ? pourquoi ont-ils changé à ce lycée ?
- Ils …ils ont peur d’échouer le bac de français. ils …ils pensent qu’ils peuvent réussir plus facilement.
Ils sont très avertis, le bac de la section littéraire, le français donne le triple. Ils sont élèves du lycée Pascal depuis l’enfance, ils peuvent obtenir de note 9,10 sans faute.
Depuis j’ai appendu le français, j’ai entendu on parle des élèves du lycée Français avec les bonnes félitations. On dit qu’ils sont très excellents, tous sont riches.
Je ne désisre pas être riche, je ne désire qu’être excellent. Parc que j’ai peur d’échouer. Parc que j’ai peur que si prof Xuân Thu m’examine, je suis planté comme une statue et je suis la risée de tout le monde. La journé prochaine, je vas au lycée Pascal pour m’inscrire au cours du soir.

THINOTHUYKIEU


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